Tin Déesse suprême
Nombre de messages : 268 Localisation : Quartiers plutôt pauvres Date d'inscription : 31/01/2007
Référence rapide Apparence: Déesse principale de la religion, représentée comme une femme à la beauté fatale, aux cheveux sombres et aux lèvres pulpeuses. Sa cruauté est sans égal. Métier: Tyran ? Quartier: Le monde !
| Sujet: La cathédrale : description Ven 27 Juil - 0:42 | |
| Cathédrale
La cathédrale (enfin un truc intéressant à décrire !) est un immense bâtiment de marbre noir. Il n’y a aucune fenêtre, et une seule entrée : une porte imposante, gardée par deux démons ancestraux... en granit ! Mais, comme il ne faut s’étonner de rien, ces deux statues sont vraiment les gardiens de cet endroit. Douées de parole et de mouvement, elles protègent mieux que quiconque leur religion et la cathédrale. Et pour cause : qui songerait à affronter des démons ? Pourtant, ce sont bel et bien des effigies de pierre. Elles sont apparues là, à l’entrée, en des temps ancestraux. La légende raconte que l’un des premiers archi prélats avait guidé la cité jusqu’à la terre des démons, et en avait statufié deux pour protéger ses secrets. Car la croyance populaire confère aux archi prélats des pouvoirs inimaginables... Seul le premier étage est accessible aux fidèles. C’est là que se passent toutes les cérémonies et les sacrifices, là que viennent se réfugier les croyant pour implorer Tachi, Tin ou tout autre dieu tout puissant. Le premier étage, donc, est construit en amphithéâtre, de sorte que, de tous les gradins, on puisse voir et entendre le prêtre. Derrière la salle principale, dissimulés par un rideau noir, se trouvent les quartiers des prêtres. Aux seconds et troisièmes étages ne sont acceptés que les prêtres et Karos. Nul ne sait ce qui s’y passe, mais les on-dit racontent qu’un gigantesque labyrinthe est installé au second étage, pour perdre les ennemis qui s’aventureraient jusque là. Quand au troisième, on raconte que Karos y entraîne une armée de magiciens. Les gens doivent bien s’ennuyer pour inventer tout ça. Ou alors la misère développe une imagination sans limite... | |
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