Pic poquet méfiez vous ( de retour) -libre-

"ça fera 21 piece"

Les marchant, vil coquin exploitant les pauvres gens, aah qu'il les maudit celui qui du haut d'un toit les regarde, comptant ses pieces, fruit de dur labeur, une bourse coeuillit fraiche et juteuse.

"Hein, ma bours! Au volleur, on m'a vollé ma bourse"

Le brave homme qui venait s'acheter son pain fouillait ses poches, mais en vain, sa bourse, son gain, envolé. Mais qui ? qui était l'auteur de ce crime abjecte? prendre ainsi cette argent, ce bien. Alors que la foulle s'agitait en contre bas, sur les toits le voyeur, l'observateur, se levait et descidait de quitter son perchoire.

"Tachons de ne pas me faire remarquer... Ce serai dommage car elle est bien remplit cette besace..."

Le voyeur, qui d'apparence était un jeune homme au cheuveux noir et à la peau bronzé par le soleil, n'était autre que Cid Starkiller. Le jeune volleur que certain connaissait pour ses vols de maigre envrgure et sa passion mal saine pour la boisson, s'était fait oublier quelque temps apres un vol qui avait mal tourné, le jeune homme s'était retrouver avec moulte blessure et sans la moindre piecepour penser ses blessure dans la boisson, mais Cid avait changé, ce n'était plus le jeune homme maladroits, il avait grandit interieurement et légèrement physiquement, un beau jeune homme sûr de lui.

Ca faisait six vols a succes qu'il avait réaliser et toutes sur des pesonnes au bourse pleine, pas forcément riches mais sufisemment avar pour se la remplir, Cid allait se payer un coups et cacher son magos dans sa planque où de multiple trézor de vol à la tire ou de cambriollage l'attendait.

Il décendit des toits, et s'engouffra dans les rueulle du bas quartiers, sombres, humide et souvent malodorante, mais Cid aimait ses ruelles, elle lui avait souvant sauver la vie.

Il s'arreta sur une petite place s'asseillant sur un tas de vieilles charpentes, regardant le ciel, revant de plus de liberté, revant de quitter la cité volante, soupirant, la place était vide et silencieuse qui sait peut etre quelqu'un passerai par là...qui sait ce que le hasard lui réservera à l'avenir.

Une silhouette sombre apparut sur la place. Une jeune femme aux cheveux blonds, vêtue d'une robe rouge foncée venait de faire son apparition.
Elle portait une de ces robes de femmes riches, décolletées et munies d'une longue jupe. Elle avait des manches courte laissant voir les bras blancs et fins de Frédérica. Cette dernière avait des membres délicats et une taille de guêpe, elle avait tout d'une faible fille à papa sans défenses.
De plus elle avait une belle bourse bien remplie accrochée à une ceinture de cuir noire autour de ses hanches ce qui renforcait l'idée d'une proie riche et facile dans l'esprit de ceux qui la voyaient passer. A sa ceinture se trouvait aussi un poignard mais il avait plus un air d'utilité dissuasive que combative, les ongles rond et bien taillés de la jeune fille tendaient à prouver qu'elle ne maniait jamais les armes.

C'était sur cette place, entre les charpentes que Frédérica avait l'habitude de se changer et de s'habiller en tenue plus adaptées aux ballades dans les quartiers pauvres. C'est à dire une chemise de toile et un pantalon de cuir avec un chapeau pour camoufler ses cheveux, ainsi qu'une cape pour cacher sa silhouette indéniablement féminine.
Habituellement il n'y avait personne dans ce coin. Elle vérifia quand même en regardant de son regard acéré autour d’elle.

Sans remarquer le jeune homme qui se fondait bien dans le décor elle posa son sac de toile. Puis elle enleva sa ceinture qu'elle déposa avec sa bourse et son poignard. Elle enleva sa robe et se retrouva simplement vêtue d'une sorte de mini-short et de bande tendue sur sa poitrine de soie noire. Même si le plus important restait voilé elle n’était vraiment pas très couverte. Elle enfila la chemise noire, le pantalon de cuir et le chapeau de toile noire, en remontant ses cheveux et en les calant sous le couvre-chef, qui se trouvait dans son sac.

Elle tendit la main vers sa ceinture quand elle croisa le regard de Cid à quelques pas d’elle. Elle saisit une épée qui se trouvait dans son sac et la pointa vers le jeune homme.

"Qui es tu ?! Et que fais tu ici ?"

Elle n’était nullement gênée de s’être changée devant cet être inconnu mais elle voulait se protéger, si quelqu’un du camps de Karos apprenait ce qu’elle faisait ici elle était bonne pour être pourchassée et devoir fuir dans les quartiers pauvres. Elle devait éliminer cet homme ou alors s’assurer qu’il ne parle pas.

Cid regardait toujours le ciel quand il entendit des bruits venir en sa direction, une jeune femme, ravissant de par ses trais et la finesse de ses habits, au forme ounctueuse, un magnifique décolté laissant appersevoir ses deux fruits de passion, dans sa robe rouge sombre et ses cheuveux blonds. Le regard de Cid était posé sur la jeune femme, et ne semblais vouloir s'en écarté, que faisait une si jolie dame dans un si sombre, sale et silencieuse petite place abbandonné. Il fut surpris de la voir se changer apparemment la belle ne l'avait apperçue, son regard s'arreta un momen sur la ceinture de la jeune femme, une daue et une bourse enflé;

*Mmmh voyez vous ça...*

Se disait il en silence, puis la jeune femme se retrouva presque nu au plaisir des jeux du jene homme qui ne manquait pas de caresser des yeux les forme divine de cette personne, peut etre pourrait il s'approcher d'elle at peut etre gouter à cette beauté profitant pour lui prendre cette bourse bien remplit. Mais était ce bien, elle qui était si jolie, ne serait ce pas de trop alors qu'elle lui offrait un si savoureux spectacle. Ses pensé furent vitte intérompu par :

"Qui es tu ?! Et que fais tu ici ?"

"Qui je suis? ça je ne vous le d