Nom : Déli (mais elle ne se fait jamais appelée par son nom)
Prénom(s) : Alia
Age : 23 ans
Etat civil : Maîtresse officielle d’Hurao
Race : Sa mère était une fae, son père un elf.
Profession :[ Grande prêtresse et maîtresse officielle de Hurao. Elle effectue aussi toute sorte de travaux pour son compte et celui de Karos. Elle est la femme la plus importante du côté de Karos, et donc peut-être bien de la ville, en rang.
Camp : Fidèle de Karos
Adresse : Dans les quartiers les plus riches, proche de la tour et de Karos. Elle a ses quartiers (pas dans le même sens^^) dans la demeure de Hurao mais garde l’ancienne maison, plus petite, de la mère.
Père : Malek Déli, un elf qui était contre Karos, mais elle n’a aucun souvenir de lui.
Mère : Elowine Déli, ancienne prêtresse et maîtresse de nombreux hommes de Karos.
Frères et soeurs : Aucuns
Autres membres : Sa louve compte comme une personne pour elle.
Description physique : Les parents d’Alia étant tous deux dotés d’un physique plus qu’attrayant, Alia en bénéficie elle aussi. Elle porte des cheveux mi-long, noirs, mais ne les montre que rarement, car elle se cache souvent sous une cape. Son visage est en fait assez simple, mais ses yeux frappe souvent l’observateur. Ils sont d’un violet perçants, brillants, et une lueur malveillante y est visible. Alia est assez grande, élancée, et un entraînement lui a permis de se muscler le corps. Mais elle reste très belle, et fait assez attention à elle. Non pas par coquetterie, car elle considère les femmes coquettes comme des idiotes, mais par nécessité. Car pour rester parmi les femmes favorites de l’entourage de Karos, les charmes sont un atout plus que nécessaire. Elle s’habille donc avec soin lorsqu’il le faut, mais porte généralement une tunique féminine identique à celle des femmes riches, mais assez simple pour se mouvoir rapidement. Lorsqu’on la croise, on ne peut se tromper sur son rang, elle a un port fier, et souvent un regard dédaigneux pour ceux qu’elle juge faible. Elle est curieuse de chaque chose et ses yeux brillent lorsque quelque chose attire son attention. Sa louve l’accompagne très souvent et marche à son côté, veillant sur sa maîtresse qu’elle adore autant que Alia l’aime. Si on regarde très attentivement, une légère bosse à sa hanche témoigne de l’emplacement de son poignard, qu’elle saisira prestement si nécéssaire.
Description morale : (au moins 10 lignes)
Par hérédité, Alia est très fière, et très rancunière. Si une personne lui a un jour fait une crasse, elle la lui rendra, tôt ou tard. Elle doit parfois mettre sa fierté de côté, mais la plupart du temps, elle lui est utile car elle en devient plus intéressante et combative aux yeux de Hurao, ce qui lui plaît, de même qu'à Karos. Avec les personnes inférieures à elle, elle n’hésite pas à être autoritaire, ou cruelle. De sa mère, elle a tout de même hérité une certaine espièglerie qu'elle garde avec les hommes qu'elle se met en tête de séduire. Elle s'est vite rendue compte que cela pouvait lui être utile, et l'exagère parfois un peu.. Elle est très intelligente et sait être patiente lorsqu’il le faut. Mais elle est ambitieuse, et peut aussi faire beaucoup pour parvenir à ses fins, ou ne serait-ce qu’à se faire bien voir de Karos, dont elle apprécie, plus que l’homme lui-même, le pouvoir qu’il incarne. Elle s’est habituée à la richesse dans laquelle elle vit et ne voudrait surtout pas y renoncer, mais le pouvoir reste ce qu’elle préfère, même sur une seule personne. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle aime tuer et séduire.
Elle a beau être avec Hurao, elle continue de séduire, ce qui ne déplait pas à son amant qui aime montrer que au final, c’est lui le vainqueur. Leur amour n’est pas le genre romantique auquel aspirent les jeunes filles. Chacun apprécie l’autre pour ses qualités (Beauté, pouvoir, combativité, rang…chacun ses préférences) et ce qu’il/elle incarne. Chacun est fière d’avoir séduit l’autre.
Renseignements complémentaires ou signes particuliers : (facultatif)
Histoire : Alia est née dans les quartiers moyens. Son père était un homme qui ne travaillait pour aucun camp particulier, qui ne cherchait qu’à vivre simplement. Mais sa mère en voulait toujours plus et se laissa séduire par les richesses que pouvaient lui apporter les hommes de Karos. Elle commença par se faire payer ses charmes, puis parvînt à devenir une prêtresse. Lorsque le père d’Alia le découvrit, il commença par essayer de la faire revenir à la raison, mais sa mère, craignant surtout que cela ne lui fasse perdre son statut, le dénonça en tant qu’opposant et le fit sacrifier. Peut-être que si elle l’avait su, Alia n’aurait jamais suivit le chemin de sa mère, mais elle ne s’en souvient pas, elle n’avait que 5 ans, et elle connu donc une enfance et une éducation identique à celle des autres partisans de Karos. Et dans le même luxe. Petit à petit, Elowine avait réussit à être la maîtresse de plusieurs des hommes de Karos et fournissait donc à sa fille une vie de qualité. Celle-ci fréquentait les enfant des familles les plus importante et avait déjà une âme à la soif de pouvoir. Ses grands yeux violets, bien qu’ils ne possède pas encore de malveillance assumée, hypnotisaient tous le monde. Les grand s’en ravissaient, mais elle avait surtout un pouvoir sur les autres enfants. Elle était le bourreau dont tout le monde peut se souvenir avoir connu en maternelle, faisant régner ses petites lois. Elle écartait les autres petites pour être la seule « princesse » respectant tout de même les garçons de son âge et plus comme il se devait. Pendant ce temps, Elowine était devenue une prêtresse et apprit donc plus en profondeurs les rites à sa fille, qui était fascinée par l’ambiance de la cathédrale. En grandissant, elle devînt une belle adolescente, mais elle n’avait plus d’amies parmi les autres filles, toutes soit jalouses soit la haissant à cause de leur jeunesse passé. Après en avoir souffert, en restant seule à faire d’autres activité pour ne pas y penser, Alia fut sauvé par son physique, si l’on peut dire. En effet, elle était arrivée à l’age où les garçons ne regarde plus les filles de la même façon. Elle découvrit alors comme son physique pouvait lui servir et commença à jouer au jeu de la séduction, s’amusant délibérément avec eux. Sa mère s’en amusa quand elle s’en rendit compte et lui disait, faisant passé cela pour un jeu, de séduire à chaque fois le fils de l’homme le plus en vue pour elle. Alia admirait sa mère qui lui avait raconté son ascension, omettant quelques détails bien sûr. Elle fut très atteinte lorsque Elowine mourut à la suite d’une maladie et resta seule à la pleurer pendant longtemps. Une autre femme prit sa place dans les honneurs de Karos, et en tant que fille d’une morte, Alia fut un peu délaissée. Même si sa beauté restait la même, les autres jeunes commençaient à leur tour à changeait de cibles, préférant les filles heureuse à une Alia au regard triste. Lorsqu’elle eut 19 ans, deux ans après la mort de sa mère, Alia se ressaisit. Elle ne voulait pas perdre cette vie de luxe et compris que si elle voulait devenir importante, ce ne serait pas en restant sans rien faire. Elle se rappela au bon souvenir des anciens amis et surtout amant de sa mère. Elle leur rendit l’image qu’ils voulaient d’elle, faisant tout ce que sa mère aurait fait,n se dit elle. A son tour elle devient une « amante secrête très prisée », demandant simplement en échange de rednre quelques autres petit service au compte de Karos et de ses fidèles. Elle avait beaucoup suivit les rites de la religion grâce à sa mère et suivit l’initiaton pour devenir prêtresse à son tour. Tout en continuant ses autres activités, ellese mit à commetre pour le compte des hommes de Karos, puis plus tard de lui-même, de simples missions comme de l’espionnage, des vols. Lorsqu’elle eut 20 ans, elle commit son premier meurtre d’un opposant à la religion.
Alia était prête à tout, et ne connaissant qu’une seule religion, elle était sûre que c’était la seule possible, et que donc tous opposants était inférieurs. Elle ne rechignait donc pas à tuer de sang froid quiconque s’y opposait. Son père se serait retourné dans sa tombe, maudissant Elowine. Elle aimait le pouvoir, et voulait devenir encore plus importante que ne l’était sa mère, devenir Grande prêtresse, La Grande prêtresse. C’était plus dur que les fois précédentes.
Cette fois, elle du jouer à son tour de ses charmes. Mais cela devînt pour elle un jeu. Que les hommes étaient bêtes ! Quelques beaux vêtements, un peu de résistance à eux, et ils vous tombaient dans la poche! Ce n’était pas toujours aussi facile, bien sûre, mais Alia finit par obtenir ce poste qu’elle désirait tant. Elle avait bientôt 21 ans et elle en voulait toujours plus. Etre grande prêtresse c’était bien, mais il fallait s’y maintenir.
Elle avait séduit un à un à peu prés tous hommes de Karos et avait donc une notoriété assurée. Mais un jour, elle se lassa de ces hommes de peu de fierté, et se pris à désirer Hurao, le conseiller de Karos. Lui, c’était un vrai homme de pouvoir, agissant vraiment. Et qu’elle puissance émanait de lui ! Il était beau, il était plein de pouvoir et il avait de la fierté. Elle connaissait son goût pour les femmes belles, mais savait aussi qu’il changeait souvent d’amante, se lassant vite, comme Alia des hommes.
Elle se mit alors en tête de le séduire, il était influent et elle savait qu’il l’avait remarqué. Et puis, elle songea aux possibilités que cela lui offrirait si elle parvenait à le séduire. Elle serait alors sûre de garder son poste et d’être la femme la plus importante de la Cité, parmi les fidèles. Leur jeu de séduction dura assez longtemps, tous deux s’y complaisant, et elle finit par arriver à ses fins.Ou bien lui. Le resultat était le même, chaun s’estimait victorieux. Là encore, elle en voulu plus. Elle mit tout en oeuvre pour rabaisser les autres de ses maîtresses plus ou moins officielles, et devînt la seule. Elle avait maintenant une place importante assurée, Hurao étant très influent auprés de Karos, et de plus, plein d'attention envers elle.
Elle continue de faire de multiples travaux, en rapport avec Karos lui-même, par l'intermédiaire d'Hurao. Ce peut être, la encore, des vols, des meurtres, ou la simple séduction d’un homme pour l’enrôler ou le faire parler. Elle arrive ainsi à se maintenir dans un certain pouvoir (dans la limite possible, pour une femme) et dans une certaine richesse. Elle est une fervente croyante et sera toujours prête à tout pour le prouver.
Animal de compagnie (facultatif) : Une louve, Denia qu’elle adore bien plus que de nombreux hommes, et qu’elle emmène partout avec elle. Denia lui est fidèle et obéissante, et n’hésitera pas à sauter à la gorge de quiconque si Alia le demande ou est en danger.
Armes : Le plus souvent, Alia se sert d’un poignard dont la lame est sinueuse et qui peut faire beaucoup de dégâts. Mais lorsqu’elle doit agir de manière plus discrète, elle peut avoir à se servir de poisons ou même, en de rares cas, car cela ne lui plaît pas, à mains nues. Parfois aussi, elle laisse le soin à Denia de l’aider.
Relations particulières : Ben Hurao et Karos, évidement. Et puis depuis peu je connais Félinea aussi.
[/i]
De l'autre côté de l'écran
Vous débarquez sur la Cité Volante. Ou peut-être pas. Toujours est-il que l'on se pose des questions, nous, petit curieux.
O ôlde harre iou ? : Ché pas si j’peux l’dire….Bon, si, parce que c’est bientôt mon anniversaire alors comme ça on me le dira^^ Dans très exactement 13 jours à compter de today, je serai une personne de 17 ans.
Comment avez vous débarqué ici ? Hum…et bien par une publicité illicite faite par Mp sur un rpg dont je ne citerais pas le nom, on m’a suuuuplié de venir (sans éxagération bien sur)
Pourquoi avez vous voulu vous inscrire ? Parce que j’ai toujours voulu faire une méchante !
Personnages évoqués et disponibles à le reprise : Hmmm Dénia ?^^ Ben je sais pas un de mes nombreux anciens amants ou un frère ou une sœur dont j’ignore l’existence etc…
(
ici)
Dim 25 Fév - 18:27
